Archives expositions personnelles France

Archives expositions personnelles (R)

Maternaprima, 2006. Grande salle


Comme le ventre d'une femme enceinte sous les coups de pied de son bébé, la terre se forme et se déforme suivant les mouvements d'une mystérieuse créature. Hommage émerveillé de l'artiste à la vie et à notre belle planète bleue.


Ci-contre

Samuel Rousseau, Materna Prima, 2006

Samuel Rousseau, Materna Prima, 2006

Jardins nomades, 2007. Galerie


Sur un tapis, objet ancestral lié à la vie des nomades, de minuscules silhouettes affairées déambulent entre les motifs. Invité à réaliser une installation pour une grande multinationale, Samuel Rousseau a été interpellé par le quotidien des cadres de l'entreprise, véritables nomades des temps modernes.

Pour créer ses silhouettes, l'artiste a filmé le va-et-vient du personnel puis individualisé chaque figure pour créer une banque d'images. Cette oeuvre invite à méditer sur un monde globalisé où les migrations transforment les individus en nomades à l'échelle de la planète.


Chemical House, 2010. Galerie


C'est à partir de blisters de médicaments évidés que l'artiste compose ces petits tableaux électroniques dont l'esthétique dialogue autant avec la peinture qu'avec les jeux vidéos. De savants algorythmes programment les déplacements des personnages et font varier les boucles temporelles d'un blister à l'autre au sein d'un même tableau. L'artiste joue des interférences visuelles comme un DJ associe les sons. Une métaphore ludique de l'emprise de ces petites gélules sur notre santé...


Extraits du livret de l'exposition


Oeuvres exposées au 1er étage de la Fondation Salomon


Plastikcity, 2005-2006. Grande salle
Avec quelques bidons plastiques découpés et assemblés, Samuel Rousseau construit tours et barres d'immeubles et fait surgir par la magie de la viéo une ville contemporaine et ses habitants. À chaque étage, à chaque fenêtre, les silhouettes vont et viennent absorbées par leurs tâches quotidiennes. Multipliant les rythmes, diversifiant les déplacements et les activités, l'artiste s'amuse à perdre le regard du visiteur, donnant une fois de plus le sentiment d'un temps suspendu.
Plastikcity poursuit les recherches de l'artiste pour casser la confrontation entre l'image vidéo et le spectateur et proposer une oeuvre qui habite l'espace et que le visiteur puisse à son tour habiter.


Samuel Rousseau, Plastikcity, 2005-2006. Installation à la Fondation Salomon, 2010 Samuel Rousseau, Plastikcity, 2005-2006. Installation à la Fondation Salomon, 2010

Samuel Rousseau, Plastikcity, 2005-2006. Installation à la Fondation Salomon, 2010

  Samuel Rousseau, exposition monographique
  Fondation Salomon, Alex. 10.07- 07.11.2010

Samuel Rousseau, Fluide, 2009. Extraits de l'installation à la Fondation Salomon (six oeuvres)

Samuel Rousseau, Fluide, 2009. Extraits de l'installation à la Fondation Salomon (six oeuvres)


© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2012. Tous droits réservés

Samuel Rousseau, 1er étage, Fondation Salomon

Samuel Rousseau, Chemical House, 2010. Installation à la Fondation Salomon, 2010


Sphères géopoétiques, 2008-2009. Galerie


Dans chaque sphère, l'artiste projette l'image d'une capitale du monde: New York, Pékin, Berlin, Paris, Dakar, évoluent sous nos yeux comme les atomes d'une grosse molécule, plus proches, plus semblables les unes aux autres grâce aux nouvelles technologies et aux transports modernes. Le visiteur tel un géant contemple cette nouvelle géographie du monde.


Samuel Rousseau, Sphères géopoétiques, 2008-2009. Installation à la Fondation Salomon, 2010

Samuel Rousseau, Sphères géopoétiques, 2008-2009. Installation à la Fondation Salomon, 2010


Casei, 2007. Galerie


Ces constellations ne sont autres que les photographies de croûtes de tomme de Lozère. Le micro et le macro traversent toute l'oeuvre de Samuel Rousseau et jouent à se confondre.


Samuel Rousseau, Casei, 2007. Fondation Salomon, 2010 Samuel Rousseau, Casei, 2007. Fondation Salomon, 2010

Samuel Rousseau, Casei, 2007. Fondation Salomon, 2010


L'oeuf, 2002. Alcôve au bout de la galerie


Proposition ouverte, cette vision fantasmagorique d'un poisson rouge piégé dans un oeuf de canne nous fait osciller entre angoisse et émerveillement.


Fluide, 2009. Salle Façonnat, au bout de la galerie


Une main moulée dans la résine est parcourue d'un réseau de lignes colorées qui évoquent le fluide de l'énergie vitale. Hommage de l'artiste au geste créatif et au monde de l'émotion et de la sensation.


Un peu d'éternité, 2009. Salle Falconnat, au bout de la galerie


L'image d'une flamme de bougie est projetée sur l'ombre réelle d'une bougie éteinte. La bougie allumée se reflétant dans un miroir, méditation sur la vanité de la vie humaine, est un thème qui traverse l'histoire de la peinture de la célèbre "Madeline pénitente" de Georges de la Tour aux "Bougies" de Gerhard Richter. L'interprétation proposée par Samuel Rousseau poursuit la réflexion du grand peintre contemporain sur le rapport de la peinture à l'image à l'ère de la photographie et de la vidéo. La vidéo nous offrant, avec l'humour et la poésie chers à l'artiste, non plus une méditation sur la mort et la finitude des choses mais un moment d'éternité.


Uel, 1998. Salle Falconnat, au bout de la galerie


Du bout de son ongle retaillé en plume, l'artiste, que tout le monde appelle Sam, écrit la fin de son prénom. Réflexion sur l'outil qui prolonge le corps de l'artiste et l'accompagne dans son aventure créatrice.


Samuel Rousseau, Fluide, 2009. Extraits de l'installation à la Fondation Salomon (six oeuvres)