Archives expositions personnelles France
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Daniel van de Velde, Le Marronnier Rouge. Courtesy de l’artiste
Communiqué de presse
La galerie Meyer présente à Marseille du 9 janvier au 2 février une exposition d’œuvres totalement nouvelles de Daniel Van de Velde, intitulée Formellement inédit.
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-arts de Rennes et de Saint-Rémy de Provence, cette rétrospective parrainée par la Fondation d’Entreprise Michelin est la première grande exposition consacrée à l’artiste depuis 10 ans. Une cinquantaine de tableaux provenant de grandes collections publiques et privées seront exposés au FRAC Auvergne.
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Exposition du 9 janvier au 2 février 2015. Galerie Meyer, 43 Rue Fort Notre Dame, 13001 Marseille. Tél.: + 33 (0)4 91 33 95 01. Ouverture du mardi au samedi de 15h à 19h.
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2016. Tous droits réservés
Daniel van de Velde, Étendre : fil de lin marouflé sur toile. L’encollage se fait à partir d’un hypothétique centre que les 5 bandes matérialisent par une persistance rétinienne.
Daniel van de Velde vit dans le Var et travaille au gré de ses projets. Par la sculpture, l’installation, la photographie, la vidéo, l’écriture ou la poésie, il recherche les réponses les plus justes et les mieux adaptées aux propositions d’interventions et d’expositions qui lui sont faites. En sculpture, son matériau de prédilection est le bois sous forme de tronc, de branches, qu’il évide jusqu’à ce que le matériau ne soit plus qu’une paroi qui enserre du vide. Ces installations donnent la mesure anthropocentrique du lieu où elles s’inscrivent. Quand il photographie, il élabore des séries qui jouent sur un déploiement aléatoire de situations. Quand il filme, il cherche à ce que le rapport au lieu devienne la mesure du temps. Quand il écrit, il le fait de manière saccadée, comme s’il mettait en doute la linéarité du temps. En poésie, il fixe les paramètres d’apparition d’un poème selon des fréquences allant d’un minima visuel à un maxima visuel par tout un jeu de graduations de teintes qui donnent au poème une lisibilité chromatique.